

Jean de Blanchard, Marches du Palais

Dorénavant, le pinceau remplace le stylo pour des paysages réalisés sur le motif et des nus de modèles vivants. Nombreuses expositions individuelles ou collectives.
En 2006, devenu enfant. il joue aux CUBES, qu’il peint sur les 4 faces, pour des peintures-sculptures de 12. 20 ou 30 éléments amovibles à volonté, créant des formes et des images nouvelles à l’infini.
Jean De Blanchard Créateur
Né en 1931 à Montpellier non loin de la place de la Comédie, Jean de Blanchard a passé son enfance dans a ville natale. C’est à l’âge de 13 ans que la famille quitte Montpellier pour Avignon ou il continue ses études. En 1954, Il commence à peindre; pendant deux ans de Blanchard travaille sa peinture, s’exerce, s’affirme, démontre, il veut comprendre la couleur, refuse l”influence, lui qui est autodidacte. Il produira mais n’exposera pas, pendant cette période.
De retour à Montpellier en 1957, il occupe le poste de responsable de l’école privée que son père a créée, cette responsabilités coupe net toute sa créativité et ses activités artistiques, c’est dans cet immeuble familial où il est né, qu’est installée l’école qu’il dirigera jusqu’en 1982 et y installera par la suite son atelier. C’est en 1988, dans la garrigue héraultaise, parti en virée, que Jean est absorbe par un paysage aux pylônes électriques. Cette forêt d’arbres métalliques du Xxème siècle l’interpelle.
Cette imbrication si souvent décriée représente pour lui une forme d’équilibre esthétique conçue selon le nombre d’or. Une toile symbolique immortalise la scène.
La machine est lancée, de Blanchard, ressort ses pinceaux. Jean utilise des supports communs. Le bois, l’isorel et bien évidemment le carton de récupération. Il va commencer à peindre et à vendre ses tableaux.
L’hypercubisme, peinture et sculpture à la fois, univers déstructuré, peintures a fragmentation, compositions no limit propre à Jean De Blanchard.
Depuis quelques années De Blanchard se consacre à la peinture sur boites, en carton ou en bois en utilisant leur volume. L’ouvrage terminé peint sur les quatres faces Jean dispose ses cubes en décalage et obtient une composition cubique qu’il appellera l’hypercubisme.
L’hypercubisme est selon lui la déstructuration de ses peintures tri-dimensionnelles en sculptures, dont l’observateur peut découvrir toutes les faces en tournant autour. Ce décalage crée une vision “pixelisée” d’une œuvre propre à De Blanchard.
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Organisation d'événements Artistiques partout en France. en un Clin d'Oeil les expositions sont réussies.
Clin d'Oeil : allusion agréable, rappel de quelque chose qu'on apprécie...























































































































































































































































































































